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H5N1 la grippe aviaire

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Message par isp67 Dim 26 Mar 2006 - 23:14

Bacou-Dalloz, numéro un mondial du matériel de protection, fait tourner ses usines à plein, pour honorer les commandes de masques respiratoires en vue d'une éventuelle épidémie de grippe aviaire : instauration des 3X8 et construction d'un nouveau site de production.

"Avec les craintes cet été de transmission de grippe aviaire à l'homme, le gouvernement français nous a passé deux commandes de masques de protection respiratoire, l'une en juillet dernier portant sur 12 millions d'unités et la seconde en novembre concernant 9 millions de pièces", indique Christophe Mathy, directeur de la communication du groupe Bacou-Dalloz.

Pour répondre à cette demande de l'Etat mais aussi du milieu hospitalier et des sociétés industrielles françaises implantées notamment en Asie, Bacou-Dalloz fait tourner à plein régime depuis l'été dernier son outil de production avec pour objectif la production de 180 millions de masques en 2008.

"Les équipes de notre usine de Plaintel en Bretagne où sont fabriqués les masques respiratoires jetables, travaillent désormais au rythme des 3X8 contre 2X8 auparavant et des équipes sont à leur poste durant le week-end".

Mieux, Bacou-Dalloz va doubler la surface de son usine bretonne d'ici la fin 2006, pour la porter à près de 14.000 m2.

"Bacou-Dalloz a signé avec l'Etat un contrat de 80 millions d'euros pour des masques respiratoires livrables d'ici la fin de l'année 2008. Notre capacité actuelle de 40 millions par an aura alors plus que quadruplé pour atteindre 180 millions d'unités.

"Proposé à moins d'un demi euro, le masque respiratoire jetable comporte du tissé propylène enserré dans deux coques de polyester", explique M. Mathy.

"L'Etat nous a passé directement commande de millions de masques qui seront en grande partie stockés dans les hôpitaux, mais en général nos produits sont commercialisés par quinze à vingt distributeurs en France. Nous ne pouvons donc pas identifier nos acheteurs qu'ils soient français ou européens", précise M. Mathy.

Si le groupe Bacou-Dalloz revendique la première place mondiale dans la production et la commercialisation de la protection individuelle (protection oculaire, harnais anti-chute pour le bâtiment, vêtement de protection, chaussures de sécurité) il réalise seulement 19% de son chiffre d'affaires total (694 millions d'euros en 2005) dans le respiratoire avec les marques Willson, Survivair ou Fenzy.

"La profession de la protection individuelle et notamment du masque est très atomisée en France mais aussi dans le monde, l'Américain 3M étant de loin le leader mondial dans ce secteur", ajoute le responsable du groupe français.

A Mulhouse le distributeur de masques respiratoires Infield Safety France est aussi submergé de commandes.

"Les organismes en contact avec le public, comme les sapeurs-pompiers, renforcent leurs stocks. Les commandes actuelles des laboratoires sont multipliées par cinq par rapport à la normale, celles des magasins de bricolage par trois" indique David Laird, gérant de filiale française du groupe britannique Infield Safety.

Sa société avait vendu 300.000 masques en 2005, elle prévoit d'en vendre 1,5 million cette année.

L'usine européenne d'Infield à Londres connaît le même sur-régime que la filiale de vente française. Elle tourne sept jours sur sept depuis l'été dernier et s'attend à fabriquer 24 millions de masques en 2006, deux fois plus qu'en 2005 et quatre fois plus qu'en 2004, selon M. Laird.
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Message par isp67 Dim 26 Mar 2006 - 23:15

Le ministre de l'Agriculture Dominique Bussereau a souhaité vendredi qu'il n'y ait pas de panique en France après la découverte d'un canard sauvage retrouvé mort dans l'Ain et très probablement porteur du virus H5N1 de la grippe aviaire.

"Il ne faut avoir aucune panique. Des cygnes, des oiseaux morts on en a tout le temps, on en a trouvé ces derniers temps en Italie, en Allemagne en Slovénie, en Autriche. Donc il était évident qu'on devait en trouver sur le territoire français", a indiqué le ministre à la presse à Saint-Georges-de-Didonne (Charente-Maritime) où il lançait la campagne nationale pour la simplification administrative de l'agriculture.

"Il ne faut pas paniquer, prendre peur, simplement cela montre que nous sommes en état de vigilance et que dès qu'il y a un événement on réagit immédiatement dans le cadre du principe de précaution", a-t-il ajouté.

Le ministre a également demandé aux promeneurs qui trouveraient au cours du week-end des oiseaux morts de le signaler à la mairie ou "par l'intermédiaire des services de police, de gendarmerie ou des pompiers qui assureront l'enlèvement du volatile ce qui nous permettra de l'analyser".
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Message par isp67 Dim 26 Mar 2006 - 23:16

Grippe aviaire, les SP face au risque (un dossier du sapeur-pompier mag)

Aucun sapeur-pompier n’a, ces dernières semaines, échappé aux informations développées dans les médias sur la « pandémie de grippe aviaire ». Concrètement, cette grippe est-elle transmissible à l’homme ? Une épidémie mondiale est-elle inéluctable ? Le risque est-il majoré ? Les sapeurs-pompiers seront-ils dans les premiers intervenants ? Quid de leur protection et des mesures de prévention ? Autant de questions qui ne sont pas sans réponse, au contraire…


La grippe du poulet », « la peste aviaire », « la pandémie de grippe aviaire »… si, à force d’utilisation médiatique, ces termes nous deviennent de plus en plus familiers au fil des semaines, il faut aussi reconnaître qu’ils ne sont pas d’une grande clarté. A l’heure où, sous l’égide de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), tous les pays travaillent de concert pour limiter les risques d’une épidémie mondiale et édicter des mesures de précautions, où sur le seul territoire français une Délégation interministérielle à la lutte contre la grippe aviaire fait plancher nombre d’experts sur le sujet, faisons un rapide point de situation sur les pathologies incriminées et leur risque de survenue.

• La grippe hivernale. Elle est saisonnière, presque banale, au virus connu, et fait chaque année un certain nombre de malades et de morts.

• La grippe aviaire. Elle concerne les oiseaux. Il existe plusieurs sous-types de virus. En l’occurrence, depuis quelques mois, celui dénommé H5N1 mobilise toutes les attentions, car il connaît une diffusion mondiale (Ndlr : à l’heure où nous imprimons, il est aux portes de l’union européenne car avéré en Turquie et Roumanie). Très présent dans les fientes d’oiseaux malades, particulièrement chez le canard, le cygne et tout oiseau vivant dans un milieu aquatique, le virus survit plus longtemps lorsque les fientes sont émises dans un milieu humide. Contrairement aux idées reçues, les vecteurs sont aujourd’hui les oiseaux sauvages, les poulets et dindons étant infectés par eux. Ce virus aviaire ne se transmet pas à l’homme… en principe. Car il est aujourd’hui reconnu qu’il s’est pourtant transmis à environ 120 personnes en Asie, mais dans des conditions où la charge virale était particulièrement forte (éleveurs, familles vivant au milieu d’animaux malades). Ces 120 personnes sont décédées.

Pandémie
• La plus grande crainte porte sur une nouvelle forme de grippe. En effet, si ce virus aviaire se trouve chez un homme en même temps que le virus saisonnier, il existe une très forte probabilité, inéluctable selon l’OMS, que le virus se transforme en un virus nouveau. Cela ne s’est pas encore produit dans sa version 2005, mais cela s’est déjà vu au cours du siècle passé : la grippe espagnole et la grippe asiatique résultent en effet de la recombinaison du H5N1 et ont, en leur temps, fait des millions de morts. Ce phénomène se produit 2 ou 3 fois par siècle, et selon les experts toutes les conditions sont réunies pour une nouvelle recombinaison. Pour ce nouveau virus, l’espèce humaine ne possède pas de défense immunitaire. Une épidémie humaine s’étendant sur un ou plusieurs continents serait donc possible. Selon l’OMS, cette pandémie se déroulerait en France sur 120 jours, en une ou deux vagues. Un rapport de l’Institut national de veille sanitaire évaluant l’impact d’une telle pandémie en France annonce, en l’absence d’intervention, 20 millions de personnes malades et 200 000 morts.

Pandémie déclarée

Trois niveaux d’exposition au risque

Sapeurs-pompiers, policiers, douaniers… pour les fonctionnaires de l’Etat qui sont au contact du public, trois niveaux d’exposition ont été déterminés, qui s’appliquent à une phase pandémique et définissent les modalités de protection individuelle. En l’occurrence, adaptés à la réalité opérationnelle des sapeurs-pompiers, il est ainsi prévu :

• niveau 1 (intervention pour feu sans protection par ARI, opération diverse, etc., occasionnant une simple mise en contact avec du public) : port du masque type FFP2 ou demi-masque avec cartouche P3 pendant l’exposition au public ; mise à disposition d’un masque type « chirurgical » à toute personne qui tousse ou se déclare fiévreuse.

• Niveau 2 (intervention pour secours ou soins à victime) qui suppose que l’on s’approche très près d’une victime, qu’on la touche afin de pratiquer les gestes de secourisme : port du masque type FFP2 ou demi-masque avec cartouche P3 ; de gants de protection tels ceux classiquement utilisés lors d’interventions pour secours à personnes ; de lunettes de vue ou lunettes de protection.

• Niveau 3 (intervention pour secours ou soins concernant une victime atteinte de grippe ou suspectée de l’être) : é quipement à l’identique du niveau 2 + une sur-tenue jetable. Le protocole d’habillage complet consiste à commencer par le masque, puis la paire de lunettes, avant d’enfiler la combinaison, la cagoule et, enfin, les gants. Une fois émis dans l’atmosphère, le virus a une faible résistance. Les mesures d’hygiène générales et le respect des protocoles habituels constituent la protection efficace du sapeur-pompier. Ce sont, a contrario, les pires ennemis du virus en contribuant efficacement à limiter sa diffusion.

Dans tous les cas, un principe de précaution invitera à n’engager que le minimum de personnels sur les lieux d’une intervention. « Il faudra mettre les radios portatives dans des sacs de protection, type sacs de congélation, et penser à en recouvrir les micros des moyens radio embarqués, indique le Dr Henri Julien, conseiller technique santé à la Direction de la défense et de la sécurité civiles. Car lorsque l’on parle à la radio, on postillonne et cette partie de l’appareil finit par être humide, un milieu dans lequel le virus se complaît. » Il en va de même pour les combinés téléphoniques que les chefs d’agrès seront susceptibles d’utiliser au domicile des personnes secourues.
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H5N1 la grippe aviaire Empty je fait plusieur mesage pour mieu distinguer

Message par isp67 Dim 26 Mar 2006 - 23:18

« Il faut protéger les sapeurs-pompiers»

Entretien avec le Dr Henri Julien, médecin inspecteur, conseiller technique santé à la Direction de la défense et de la sécurité civiles

Le SP Mag. : Les services de l’Etat doivent-ils d’ores et déjà envisager de fonctionner en mode dégradé en cas de pandémie grippale ?
H. J. : Un plan gouvernemental de lutte contre une pandémie grippale a été mis au point. Il est disponible sur le site Internet du ministère de la Santé. La phase pré-pandémique relève au premier chef du ministère de la Santé. La phase pandémique, qui est une catastrophe de type sanitaire, relève, comme toute catastrophe, d’une planification de type Orsec faisant appel à tous les services de l’Etat. Nous avons donc évidemment étudié le fonctionnement en mode dégradé des services de l’Etat au plus fort d’une épidémie. Pour les Sdis, cela signifie avoir vraisemblablement, comme tout le monde, 30 % de personnels malades pour cause de grippe pandémique, mais en devant faire face, dans le même temps, à une augmentation des appels et des interventions. Il y a donc des mesures d’organisation et de fonctionnement des Sdis à prendre, dont les principes font l’objet d’une directive en cours de précision et qui sera adressée prochainement aux directeurs départementaux. En tout état de cause, il faut protéger les sapeurs-pompiers par des mesures générales d’équipement et de prévention.

• En termes d’équipement, faut-il s’attendre à travailler avec des masques par exemple ?
Tout à fait. Car la transmission du virus chez l’homme en cas de pandémie se fera d’arbre respiratoire à arbre respiratoire, par le biais du « pfludge ». Ce sont de minuscules gouttelettes de salive, d’eau, que l’on émet lorsque l’on parle, bien plus petites que les postillons, et qui transportent le virus d’un individu à l’autre. Il faudra donc bloquer ce mode de transmission majeur de la pandémie en mettant un écran entre les individus, en l’occurrence en utilisant des masques. Le masque banal de type « chirurgical » suffit s’il est porté par l’émetteur de la maladie. Il est en effet assez facile de bloquer l’émission par un masque simple comme en portent les chirurgiens pour ne pas contaminer les malades qu’ils opèrent. En cas de pandémie, il s’agit d’un acte citoyen dès lors que l’on se sait ou se suppose contaminant : « En mettant un masque j’évite de contaminer mon entourage ». Comme tout le monde ne le fera sans doute pas spontanément, pour protéger les sapeurs-pompiers en intervention, il faudra les doter de masques filtrants plus efficaces, soit de type FFP2 qui sont des masques à usage unique en papier que l’on met sur la bouche et le nez, soit de type demi-masque en caoutchouc ou en silicone doté d’une cartouche filtrante adaptée.

• Qui doit organiser ces dotations et qu’est-ce que cela va coûter ?
La dotation des personnels en équipements de protection individuelle est de la compétence et de la responsabilité de l’employeur. En termes de coût, il y a un calcul à faire, qui doit prendre en compte la nécessité de doter tous les sapeurs-pompiers pendant 120 jours environ. Certes, le demi-masque avec cartouche est plus cher, mais la durée de vie de la cartouche est de 4 semaines quand celle du masque à usage unique est de 4 à 8 heures selon le niveau d’exposition au virus.

• Vous avez tout à l’heure parlé de prévention. Y a-t-il des vaccins ou des traitements préventifs ?
Il y a tout d’abord le vaccin contre la grippe saisonnière qui, à mon avis, est une bonne chose. Car il diminue la probabilité que les deux virus se trouvent en même temps chez un individu. Autre avantage : si une personne présente les signes de la grippe alors qu’elle a été vaccinée, le diagnostic sera plus rapidement posé et les traitements plus rapidement mis en œuvre. Il existe également un vaccin spécifique au H5N1, mais il est indiqué aujourd’hui aux vétérinaires et aux personnels en contact avec les oiseaux malades. Normalement, en cas de survenue d’une épizootie, ces personnels devraient être ceux prévus par les services vétérinaires départementaux et non les sapeurs-pompiers. Quant à un vaccin contre le virus mutant, les laboratoires spécialisés devraient le mettre au point et le fabriquer 4 à 6 mois après l’apparition du virus mutant. En attendant, il y a des médicaments. Le Rélenza® et le Tamiflu®, pour qui l’on note déjà une rupture de stock dans les pharmacies de ville, alors que ces médicaments ne sont pas des traitements préventifs. Ce sont des antiviraux qui se prennent en traitement curatif sur prescription médicale. La Délégation interministérielle à la lutte contre la grippe aviaire a constitué une réserve nationale de Tamiflu® qui permettrait de soigner 14 millions de personnes, c’est-à-dire 14 millions de malades.

• Les sapeurs-pompiers doivent-ils s’attendre à être en première ligne d’intervention en cas de pandémie ?
Non, car normalement le ministère de la Santé doit donner comme consigne de ne pas hospitaliser les personnes atteintes, mais de laisser les malades à domicile sauf s’il y a nécessité d’hospitalisation pour des soins spécifiques. Ce sont des consignes que les médecins régulateurs devront faire appliquer et qui font que les sapeurs-pompiers ne devraient pas transporter à tout va des personnes victimes de la pandémie grippale. Maintenant il est vrai qu’en fonctionnement dégradé, avec une pandémie qui va durer 4 mois, il est sans doute prudent de prévoir un dépassement des missions habituelles…

« Nous manquons encore de consignes opérationnelles »

Dr Jean-Yves Bassetti, président délégué de la commission Santé de la Fédération

« Les Sdis ne sont pas des services de veille sanitaire, ils ne sont pas là pour faire des recensements de cas comme cela a pu se voir lors de la canicule. Pour autant, ils sont indispensables en santé publique. Tout simplement parce qu’ils sont les seuls à avoir un nombre important de médecins, infirmiers, pharmaciens et secouristes mobilisables, un nombre important de VSAV et de PMA. De fait, en tant que sapeurs-pompiers, nous ne pourrons nous détourner de la pandémie grippale si elle devait survenir. Mais il faudra que nous intervenions dans un cadre précis, adapté et bien défini. Nous avons besoin d’informations honnêtes et en temps réel pour former nos personnels et nous équiper. Si nous avons aujourd’hui l’information sur le risque potentiel, sur le type de virus, etc., nous manquons encore de directives, de consignes opérationnelles. C’est le rôle de la Fédération, au travers de ses moyens de communication, d’être au plus près de l’actualité, toujours dans un esprit de protection des sapeurs-pompiers. Il serait impensable qu’à risque égal, selon les départements, il y ait des sapeurs-pompiers plus ou moins bien protégés. C’est pour cela que nous attendons que l’Etat, par l’intermédiaire de la DDSC, nous donne des protocoles et des directives claires pour que nous sachions réellement comment agir lorsque nous serons face à cette pandémie ».
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