question

voilà une qustion se pose à moi :
y'as-t-il une lois en france qui dit que les camions de pompiers doivent être de couleur rouge ???

men fou des lois européenne car tous le monde fait ce qu'il veut en europe moi je veux savoir pour la france !

pk tu veut repeindre les camions de ton centre lol

je croit que c'est tout simplement une questions de tradittion sinon on ne serait pas en train de repeindre les FSR et autres vehicules de balisage en jaune?

bonne question

voilà moi je veux pas de leur jaune de m.... donc c'est pour ça que je demande !!!

Alors, les camions rouges, tout comme le casque F1, on le doit à a bspp...
En effet, avant leur calèches étaient vertes et noires, couleur utilisée pour les calèches utilisées dans le génie. (vous vous souvenez, quand avant fallait "décaller" avantde quitter le centre...)
Ils ont reçu des pompes fabriquées outre manche (si je me souviens bien) qui elles étaient rouges. Apèrs s'être aperçu que le rouge était plus disons tape à l'oeil et avait plus d'effets sur la population, ils ont décidés d'adopter le rouge comme la couleur officielle des pompes...

réponse trouver sur forum-pompier

POURQUOI LES VEHICULES POMPIERS SONT ILS ROUGES





Petites précisions….





Très fréquemment le pourquoi et le comment de la couleur des véhicules
d’incendie au fil du temps sont posés. En fait, y répondre apparaît
beaucoup plus complexe qu’il n’y parait de prime abord…. Explication




Méfions nous de la couleur des engins exposés dans les musées… en
effet, quand on voit une pompe à bras, disons antérieure à 1900, rouge
flambant neuf, décorée d’impeccable filets, il est évident que ce n’est
certainement pas ça couleur d’origine. Il faudra donc se reporter aux
gravures d’époque, aux catalogues, et aux bons de livraison conservé
dans les archives et publiés ou aux étude historique spécialisées pour
en savoir plus.

Le rouge n’était pas utilisé par les charrons, serruriers et
plombiers qui fabriquaient les pompes aux 18, 19 et même au début du
20eme siècle. Si les devis et les factures provenant de fournisseurs
précisent fréquemment le coût des couches de peinture, ils mentionnent
rarement leur couleur, ou alors citent le noir, le vert foncé, le gris.
Des documents d’archives et les engins conservés en l’état ou sur
lesquels des traces de leur coloration originale ont pu être retrouvées
le confirment.


Beaucoup d’anciennes pompes semblent être restées en bois naturel simplement passé au brou de noix et verni.




A partir de 1882, des conseillers municipaux de Paris critiquent
vivement leurs sapeurs pompiers : une explosion meurtrière provoquée
lors d’une intervention par des lampes inadaptées (alors que les lampes
électriques de sûreté sont déjà commercialisées), puis la catastrophe
encore plus meurtrière de l’Opéra comique avaient attisé leur
mécontentement.




Un comité de perfectionnement fut finalement institué par décrets
des 10 mai et 29 décembre 1887. Convenons que durant les 4 à 5 ans
précédant ce dernier, l’état major entreprit des effort de
modernisation : Mise en service de la corne à 2 tons, achat d’échelles,
de nouvelles pompes à vapeur, réforme des tonneaux d’incendie…

C’est dans cet intervalle de temps, comme l’écrit le commandant
Arnaud (Pompiers de Paris) « … qu’enfin on choisit, en 1885, la couleur
rouge vermeil comme couleur distinctive de fond pour le matériel du
corps et, en 1886, tous les véhicules étaient peints.

A cette époque, il n’y avait que des chariots hippomobiles, de
rares « grandes » échelles et quelques pompes à vapeur dont les
longerons métalliques, les sièges et les coffres en bois devinrent
rouges. On lit aussi dans la revue Allo 18, que c’est suite à un arrêté
du préfet de police que cette opération a été entreprise. Aucun de ces
2 auteurs ne citant leurs sources, il fallait donc tenter d’en
retrouver trace dans les archives. Le recueil des ordonnances et
arrêtés émanés du préfet de police de Paris consultable à la
bibliothèque administrative de la ville de Paris, ne mentionnent jamais
cette question au cours des années 1883 à 1888. De même, ni la revue
des Sapeurs Pompiers, ni le Moniteur des Sapeur Pompiers de ces années
là ne signalent ce changement. La consultation de la collection du
journal Le Figaro des années 1885 et 1886, quotidien pourtant friand de
ces petites nouvelles typiquement parisiennes, ne permet pas d’en
trouver la trace.

Faute de document irréfutable, on ne peut pas affirmer pourquoi le
rouge fut choisi, mais essayer de l’expliquer, l’auteur d’Allo 18 cité
plus haut avançant que ce fut dû au bas prix d’achat de ce pigment.
Sans entrer dans des données d’optique physique (qu’est ce qui fait
qu’on distingue une couleur d’une autre), de physiologie (comment l’œil
humain analyse t’il la réflexion de la lumière ?), ou de psychologie
comportementale (le rouge est la couleur du sang, symbole de la vie, de
la mort, du feu, de l’urgence)… retenons que le rouge est la couleur
agressive par excellence, opposée au bleu indigo (couleur du ciel) et
au vert (couleur de la végétation) pour lesquels l’œil humain est le
mieux adapté, ce dernier étant à son émergence destiné à parcourir la
savane. On pourrait donc envisager que le rouge fut retenu plus ou
moins consciemment pour rendre les engins d’incendie « agressifs » et «
tranchants » parmi les autres véhicules qui commençaient à envahir les
artères des grandes cités.




En fait, les Britanniques semblent les promoteurs en la matière.
Bien avant 1885, des échelles type « Rosalie » peintes en rouge vermeil
stationnaient aux principaux carrefours de certaines villes, à la
disposition du public pour procéder à des sauvetages en cas d’urgence.
A Londres, les seaux d’incendie déposés devant les bouches étaient eux
aussi rouge. La premières pompes à vapeur au monde qui fut anglaise
(Braithwaite & Ericsson, 1830), avait ses éléments en bois vert
foncé et ses parties métalliques en cuivre naturel poli. La firme
Merryweather, qui fabriquait du matériel d’incendie, probablement pour
des raisons d’esthétique (le rouge ressort bien à coté du cuivre), ou
dans un but publicitaire, le peignait depuis quelques années en rouge :
pompe à bras, châssis des pompes à vapeur…

Plus tard, la célèbre Sutherland (1863) allie le vert bouteille,
le cuivre étincelant de la chaudière et le rouge des roues, du siège et
des coffres. Est-ce Merryweather ou Shand, Mason & Co qui lança le
« tout rouge » ? Il est difficile de l’établir mais ces 2 firmes
l’adoptèrent progressivement et simultanément, bien que beaucoup de
leurs engins postérieurs à 1900 ne soient pas entièrement rouge.

La première auto pompe anglaise affectée à un corps de pompier, fournie
par Merryweather en 1903, voit le rouge dominer. Comme plusieurs villes
françaises (Mulhouse et Lyon, dès 1867), puis plus tard d’autres, dont
Paris, importèrent des pompes à vapeur du Royaume Uni (engins
prestigieux et encore rare en 1885), il se peut que l’on ait choisi
cette couleur tout simplement parce qu’elle paraissaient attirante et
originale, inspirant une idée de renouveau alors que les SP Parisiens
devaient se montrer modernes sous la pression des événement rapportes
plus haut. N’oublions pas non plus qu’en février 1886, Paris acquiert à
Londres 5 échelles aériennes Bayley peintes en rouge, ce qui a pu
inciter à unifier la couleur du matériel.

En revanche, ce qui s’avère indiscutable, c’est que ce n’est en
aucun cas pour imiter les pompes à vapeur américaines, comme on a pu le
lire dans une plaquette éditée par la Sécurité Civile. Elles furent
toujours multicolores au début, et même longtemps après, et quand elles
passèrent au rouge, elles se montrèrent originales avec un rouge marron
très particulier, spécifique au Nouveau continent.




En conclusion, même si la norme NFX 08008 définit la couleur rouge
des véhicules de sapeurs pompiers, en France comme ailleurs, on peut
penser que le « tout rouge », s’il a vraiment existé, fut temporaire.
Il a peut être vécu et la mode, qui ne traduit qu’un besoin de
s’affirmer par rapport à une autre époque, la nécessité d’être
distingué pour accroître la sécurité généreront une diversité de plus
en plus grande de la couleur des engins d’incendie.




encore forum-pompier je ne fait pas de pub dsl boulx

en gros si il veulent on peut avoir des camions de pompier jaunes ou autre chose et c'est bien dommage ...

apres une petite recherche legislative sur la question de la couleur des véhicules de secours je n'ai rien trouvé.
Par contre pour ce qui est de la réglementation française par rapport à la réglementation européenne, il est important de noter que les textes européens doivent être transcrit en droit français pour être applicable (domaine ou la france a souvent du retard et ce qui nous vaut tous les ans de payer des amandes à l'europe).

Ben ouép mais pourquoi dans se cas la, la plus part des VSR sont orange fluo ?

pas dans mon départment ils sont tous rouges !!!

Rien n'oblige le sdis à avoir des véhicules d'une couleur particulière. par contre le orange est la couleur que l'oeil humain peut voir le plus loin.
apres il existe différente catégorie pour ce qui est de la visibilité des vêtements ou des panneaux de signalisation (au moins dans mon secteur d'activité le BTP) donc je pense que c'est aussi valable ailleur y compris pour les SP.
ces catégories sont déterminé par la couleur et par la surface rétroréflechissante (d'ou les nouvelles tenues dans la plus part des département). c'est aussi pourquoi il y a de plus en plus de véhicules intervenant sur les axes routiers qui sont équipé de zones hautes visibilité à l'arrière.
Je ne sais pas si ce que j'écris est clair mais certaines régles existe meme si elles ne concernent pas la couleur de fond du véhicule.

si c'est très clair il faudrait que le président fasse une lois pour nos camions rouges lol !!!!!!!!!

boulx tu c'est ce qui te reste a faire lol