hommage a Karl mort d'une crise cardiaque suite a une bagare

Karl, 12 ans, tué dans une bagarre au collège
Hier, une altercation entre élèves a tourné au drame au collège Albert-Camus de Meaux (Seine-et-Marne). Un enfant de 12 ans est décédé après avoir été battu par plusieurs camarades dans l'enceinte de l'établissement.




LA MORT DU JEUNE Karl, 12 ans, élève de 6 e du collège Albert-Camus, classé en ZEP à Meaux (Seine-et-Marne), tué lors d'une bagarre hier matin après un cours de sport dans un gymnase, relance de manière dramatique le débat sur la violence à l'école. Hier soir, élèves, professeurs et tout le personnel du collège Albert-Camus, étaient sous le choc et une cellule psychologique avait été mise en place dès l'après-midi. Les deux agresseurs présumés, un collégien de 11 ans et une adolescente de la même classe, étaient hier soir entendus par la police judiciaire, placés « en rétention », le régime juridique adapté aux mineurs.
Les autres jeunes élèves des classes de 6e 2 et 6e 4, témoins de la scène, et leur professeur, étaient entendus par la brigade des mineurs.

« Cela n'aurait jamais dû se produire »

Karl, fils d'un employé non-enseignant de l'établissement, aurait chuté, victime d'un coup porté par l'un des enfants. Une fois à terre, plusieurs jeunes auraient continué à le frapper, le professeur n'ayant pas eu le temps d'intervenir tant la scène aurait été rapide. Les raisons de la rixe restaient hier soir floues, mais elles semblent dérisoires. « Un contentieux autour du ballon du match de handball », selon certains. Une autre source parlait d'un différend préexistant au match. Le procureur de Meaux, René Pech, a jugé qu'il fallait attendre les résultats de l'autopsie afin de déterminer avec exactitude la cause du décès. Certaines sources affirmaient hier que le jeune Karl aurait pu succomber à un arrêt cardiaque, certains collégiens affirmant qu'après les coups portés, « il était tombé dans les pommes ». Le collège de 610 élèves, établissement difficile, a connu depuis la rentrée des classes de septembre une centaine d'autres scènes de violence, à l'issue toutefois moins dramatique, et le conseil de discipline n'a cessé de se réunir. Des dizaines d'exclusion ont été prononcées. Des enseignants alertaient « depuis deux mois » leur hiérarchie à propos des problèmes d'agressions et du manque de personnel dans l'établissement. Selon une représentante du syndicat Snes-FSU, « le 18 octobre dernier, les professeurs ont rédigé une lettre en commun pour obtenir des moyens, n'ayant eu que quatre assistants pédagogiques sur les douze promis à la rentrée ». Les enseignants étaient même allés jusqu'à rédiger un préavis de grève. Lundi dernier, a précisé le syndicat, « un prof a été bousculé, un autre a reçu des coups de pied et de poing en séparant une bagarre, une surveillante a été arrosée d'eau de Javel et une élève hospitalisée après avoir été battue à la sortie ». Pour affronter un public de familles en difficultés, le principal avait dû mettre en place l'an passé des modules pour responsabiliser sur l'absentéisme des enfants, des lieux de parole et d'écoute où intervenaient la protection judiciaire de la jeunesse.

C'est vraiment moche ce qui se passe dans les écoles.... de plus en plus souvent, de plus en plus jeunes et de plus en plus grave.... c'est vraiment dingue!!! Hommage au petit Karl.... et forte pensé a toute les autres vistimes de la betise des hommes....

c'est vrai que l'ecole s'eloigne de plus en plus de son principal but qui est d'instruire les eleves
il y a des jours ou je me demande si c'est un lycee ou une jungle

moi je me souvient qu'en 6eme je jouer au bille et sa remonte pas a si vieux que sa j'ai que 17an lol sa a quand meme changer

bah après ca dépend des endroits... moi j'ai 21 ans et on jouait déjà au jeu du foulard!

Oui c'etai plus un college de ptit village y avai 1500hab dans le village du college et y avai 500eleves donc pas trp comparable

ben nous aussi on devait etre 300 au collège et en plus j'habite dans les vosges.....

de souvenir, juste une bombe lacrymogene jeté dans les toilettes des garcons et interdiction d'aller dans ceux des filles.

Dur cette journée là, je me suis barré pour aller faire dans les champs.

nous c'était les boules puante jété dans les toilettes au lieu de la lacrymo c'était a faire vaumir !!!

je dit pas qu'il faudrait revenir 50 ans en arriere avec les methodes qu'avait les instituteur pour maintenir l'ordre mais les profs les instituteurs les surveillant n'ont plus de pouvoir sur les eleves et peut etre pas plus l'envie de le faire car dès qu'il bougent le petit doigt les parents et les assoc se gettent sur eux comme si c'etait des criminels
si les sanctions etaient plus ajustées au cas ce genre de probs n'arriverait pas