Chikungunya la Sécurité civile envoie 70 personnes
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Chikungunya la Sécurité civile envoie 70 personnes
Soixante-dix personnes dont 65 sapeurs-pompiers et cinq militaires venus de toute la France devaient partir mercredi à La Réunion afin de participer à la lutte contre l'épidémie du chikungunya, a annoncé mardi la Sécurité civile.
Ce détachement a pour objectif "le soutien dans l'encadrement et la coordination des équipes de démoustication", a déclaré à l'AFP le lieutenant Adeline Motsch, membre de la Direction de la Défense et de la Sécurité civiles.
Ces personnes seront réparties dans les préfectures, les sous-préfectures et les communes concernées par l'épidémie.
Il s'agit d'une première vague d'une mission de trois mois, chaque détachement étant relevé après un mois. Elle repose sur le volontariat et a permis de recruter des bénévoles et des professionnels allant des grades d'adjudant à capitaine.
Cette mission d'encadrement a été décidée après une réunion interministérielle "au vu de la situation" à La Réunion où l'épidémie du chikungunya se poursuit avec 25.000 nouveaux cas par semaine.
Les opérations de démoustication se sont intensifiées sur l'ile et se déroulent désormais jour et nuit.
Environ 75.000 Réunionnais, soit 10% de la population, ont été victimes de cette maladie depuis mars 2005.
Ce détachement a pour objectif "le soutien dans l'encadrement et la coordination des équipes de démoustication", a déclaré à l'AFP le lieutenant Adeline Motsch, membre de la Direction de la Défense et de la Sécurité civiles.
Ces personnes seront réparties dans les préfectures, les sous-préfectures et les communes concernées par l'épidémie.
Il s'agit d'une première vague d'une mission de trois mois, chaque détachement étant relevé après un mois. Elle repose sur le volontariat et a permis de recruter des bénévoles et des professionnels allant des grades d'adjudant à capitaine.
Cette mission d'encadrement a été décidée après une réunion interministérielle "au vu de la situation" à La Réunion où l'épidémie du chikungunya se poursuit avec 25.000 nouveaux cas par semaine.
Les opérations de démoustication se sont intensifiées sur l'ile et se déroulent désormais jour et nuit.
Environ 75.000 Réunionnais, soit 10% de la population, ont été victimes de cette maladie depuis mars 2005.
Chikungunya la Sécurité civile envoie 70 personnes
Une dizaine de pompiers régionaux devait partir ce 15 février pour la Réunion
Leur mission sur place sera de participer à l'encadrement et à la coordination des équipes de démoustication pour lutter contre l'épidémie de chikungunya.
Quelque 65 sapeurs-pompiers (dont une dizaine du Nord Pas-de-Calais - Picardie) et 5 militaires devaient partir de France.
Les personnes seront réparties dans les préfectures, les sous-préfectures et les communes concernées par l'épidémie. Il s'agit d'une première vague d'une mission de trois mois, chaque détachement étant relevé après un mois.
Elle repose sur le volontariat et a permis de recruter des bénévoles et des professionnels allant des grades d'adjudant à capitaine.
A la Réunion, l'épidémie du chikungunya se poursuit avec 25 000 nouveaux cas par semaine. Les opérations de démoustication se sont intensifiées sur l'île et se déroulent désormais jour et nuit. Environ 75 000 Réunionnais, soit 10% de la population, ont été victimes de cette maladie depuis mars 2005.
Leur mission sur place sera de participer à l'encadrement et à la coordination des équipes de démoustication pour lutter contre l'épidémie de chikungunya.
Quelque 65 sapeurs-pompiers (dont une dizaine du Nord Pas-de-Calais - Picardie) et 5 militaires devaient partir de France.
Les personnes seront réparties dans les préfectures, les sous-préfectures et les communes concernées par l'épidémie. Il s'agit d'une première vague d'une mission de trois mois, chaque détachement étant relevé après un mois.
Elle repose sur le volontariat et a permis de recruter des bénévoles et des professionnels allant des grades d'adjudant à capitaine.
A la Réunion, l'épidémie du chikungunya se poursuit avec 25 000 nouveaux cas par semaine. Les opérations de démoustication se sont intensifiées sur l'île et se déroulent désormais jour et nuit. Environ 75 000 Réunionnais, soit 10% de la population, ont été victimes de cette maladie depuis mars 2005.
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