attentat a lyon fictif
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attentat a lyon fictif
Le premier exercice de simulation d'attaque terroriste multi-sites en France a eu lieu lundi soir. Trois attaques ont été organisées pour tester la coordination entre les services de secours et les services judiciaires. Le préfet a estimé qu'il n'y avait pas eu de "dysfonctionnement majeur".
Une bombe qui explose dans une station de métro, un faux kamikaze qui se fait sauter quelques minutes plus tard dans une rame de tramway à quai, un troisième attentat place des Terreaux... Le premier exercice de simulation d'attaque terroriste multi-sites en France a eu lieu lundi soir à Lyon. Objectif : tester la coordination entre les services de secours et les services judiciaires.
La simulation, qui a duré cinq heures, a fait appel à 1600 personnes dont 220 figurants chargés de jouer le rôle des victimes. Côté secours, 540 pompiers, une trentaine d'équipes de samu et 300 policiers ont testé leur capacité à faire face à un tel drame. A la fin de l'exercice, les autorités organisatrices se sont montrées plutôt satisfaites. "Le scénario s'est déroulé comme prévu, il n'y a pas eu de dysfonctionnements majeurs", a conclu le Préfet du Rhône, Jean-Pierre Lacroix, tout le monde s'est montré très mobilisé; nous avons enregistré une bonne remontée de l'information, régulière et précise." Une première évaluation sera élaborée d'ici quinze jours. Le rapport final viendra dans trois mois.
Des difficultés multiples
La première "explosion" s'est produite dans le quartier de Gerland, près du stade de football, peu avant l'ouverture d'un rassemblement de musique "techno". Une bombe, dissimulée sous le siège d'une rame de métro, a explosé à 20h45, au moment de l'entrée en gare, provoquant un incendie, coupant l'électricité et faisant dix morts et une cinquantaine de blessés fictifs. L'exercice portait surtout sur la capacité des secours à transporter des victimes entre le lieu de l'attentat et un poste médical avancé improvisé au Palais des Sports voisin.
Sur le deuxième "attentat" dû à un kamikaze dans le tramway, la priorité était donnée à la coordination entre la recherche des indices, l'identification des corps et les secours. Il s'agissait aussi pour les secours de désincarcérer une vingtaine de morts et une trentaine de blessés. Enfin, aux Terreaux, les autorités voulaient tester la coordination des secours venus de Rhône-Alpes et d'Auvergne. A 21h30, une "bombe" explose lors d'un spectacle son et lumière devant l'entrée de l'Hôtel de Ville. 130 personnes sont blessées et dix décèdent
Une bombe qui explose dans une station de métro, un faux kamikaze qui se fait sauter quelques minutes plus tard dans une rame de tramway à quai, un troisième attentat place des Terreaux... Le premier exercice de simulation d'attaque terroriste multi-sites en France a eu lieu lundi soir à Lyon. Objectif : tester la coordination entre les services de secours et les services judiciaires.
La simulation, qui a duré cinq heures, a fait appel à 1600 personnes dont 220 figurants chargés de jouer le rôle des victimes. Côté secours, 540 pompiers, une trentaine d'équipes de samu et 300 policiers ont testé leur capacité à faire face à un tel drame. A la fin de l'exercice, les autorités organisatrices se sont montrées plutôt satisfaites. "Le scénario s'est déroulé comme prévu, il n'y a pas eu de dysfonctionnements majeurs", a conclu le Préfet du Rhône, Jean-Pierre Lacroix, tout le monde s'est montré très mobilisé; nous avons enregistré une bonne remontée de l'information, régulière et précise." Une première évaluation sera élaborée d'ici quinze jours. Le rapport final viendra dans trois mois.
Des difficultés multiples
La première "explosion" s'est produite dans le quartier de Gerland, près du stade de football, peu avant l'ouverture d'un rassemblement de musique "techno". Une bombe, dissimulée sous le siège d'une rame de métro, a explosé à 20h45, au moment de l'entrée en gare, provoquant un incendie, coupant l'électricité et faisant dix morts et une cinquantaine de blessés fictifs. L'exercice portait surtout sur la capacité des secours à transporter des victimes entre le lieu de l'attentat et un poste médical avancé improvisé au Palais des Sports voisin.
Sur le deuxième "attentat" dû à un kamikaze dans le tramway, la priorité était donnée à la coordination entre la recherche des indices, l'identification des corps et les secours. Il s'agissait aussi pour les secours de désincarcérer une vingtaine de morts et une trentaine de blessés. Enfin, aux Terreaux, les autorités voulaient tester la coordination des secours venus de Rhône-Alpes et d'Auvergne. A 21h30, une "bombe" explose lors d'un spectacle son et lumière devant l'entrée de l'Hôtel de Ville. 130 personnes sont blessées et dix décèdent
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