Des policiers visés par des tirs de chevrotines à Evry
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Des policiers visés par des tirs de chevrotines à Evry
Des policiers visés par des tirs de chevrotines à Evry - publié le 28/06/2006
EVRY, 28 juin 2006 (AFP) - Des policiers venus régler, le dimanche 18 juin, un différend familial dans le quartier du Parc-Aux-Lièvres, à Evry (Essonne), ont été la cible de tirs de chevrotines à hauteur des vitres de leur véhicule en quittant les lieux, a-t-on appris mercredi de source policière.
Les policiers ont quitté le quartier sous une grêle de projectiles, toutes vitres relevées, et ont d'abord cru avoir été victimes d'un caillassage, selon la même source.
Pour Rénald Buson, responsable du syndicat Alliance, on voulait "tuer du flic", avec des chevrotines tirées par un fusil de chasse selon la police scientifique.
Dix-neuf impacts ont été relevés sur le pare-brise, la lunettes arrières, les vitres et les portières. "Il faut voir la voiture pour se rendre compte. Si les vitres, filmées et résistantes, avaient été baissées, cela aurait pu tourner au drame", a indiqué à l'AFP un proche de l'enquête.
Mercredi, des représentants du Syndicat national des sapeurs-pompiers professionnels (SNSPP)-CFTC et du syndicat de policiers Alliance avaient été reçus par le préfet de l'Essonne, après avoir lancé un cri d'alarme vendredi sur la montée de la violence visant les fonctionnaires dans certains quartiers.
Préfet de l'Essonne depuis huit jours, Gérard Moisselin, a demandé aux directions départementales des deux corps de renforcer la formation des pompiers sur les précautions à prendre dans certains quartiers, la coordination entre leurs équipes et la protection des engins, a indiqué la préfecture dans un communiqué.
EVRY, 28 juin 2006 (AFP) - Des policiers venus régler, le dimanche 18 juin, un différend familial dans le quartier du Parc-Aux-Lièvres, à Evry (Essonne), ont été la cible de tirs de chevrotines à hauteur des vitres de leur véhicule en quittant les lieux, a-t-on appris mercredi de source policière.
Les policiers ont quitté le quartier sous une grêle de projectiles, toutes vitres relevées, et ont d'abord cru avoir été victimes d'un caillassage, selon la même source.
Pour Rénald Buson, responsable du syndicat Alliance, on voulait "tuer du flic", avec des chevrotines tirées par un fusil de chasse selon la police scientifique.
Dix-neuf impacts ont été relevés sur le pare-brise, la lunettes arrières, les vitres et les portières. "Il faut voir la voiture pour se rendre compte. Si les vitres, filmées et résistantes, avaient été baissées, cela aurait pu tourner au drame", a indiqué à l'AFP un proche de l'enquête.
Mercredi, des représentants du Syndicat national des sapeurs-pompiers professionnels (SNSPP)-CFTC et du syndicat de policiers Alliance avaient été reçus par le préfet de l'Essonne, après avoir lancé un cri d'alarme vendredi sur la montée de la violence visant les fonctionnaires dans certains quartiers.
Préfet de l'Essonne depuis huit jours, Gérard Moisselin, a demandé aux directions départementales des deux corps de renforcer la formation des pompiers sur les précautions à prendre dans certains quartiers, la coordination entre leurs équipes et la protection des engins, a indiqué la préfecture dans un communiqué.
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